Sept personnes se retrouvent enfermées sans savoir pourquoi, dans une école totalement close parsemée de caméras de surveillance avec un compte à rebours d’une semaine. Nul ne sait ce qu’il adviendra au bout de ces 7 jours mais ce qui est sûr c’est que nos protagonistes ne disposent que d’un accès à l’eau courante… et que pour ceux qui veulent se nourrir, un hachoir et une marmite sont à disposition.
Nos personnages parviendront-ils à rester soudés jusqu’à la fin du délai ou bien leurs vices personnels les condamnent-ils à tous s’entredévorer pour survivre?
Utilisant le principe déjà vu d’un huis clos mortel, Killer instinct exploite avec brio les notions de peur et de panique qui assaillent l’esprit humain quand celui-ci est enfermé. Allant plus loin qu’un Doubt de par la violence de ses scènes et la variété psychologique de ses personnages et doté d’un dessin réaliste assez trash, nul doute que cette série terminée en six tomes s’aura s’inscrire comme un classique du genre.